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    Dédié à Serge

     

    Je t’attends toujours

    Je t’attends toujours dans mon humble chaumière.

    Entends-tu les supplications venues de mon cœur ?

     

    Ta rivière bleue a emprunté les chemins de mon âme,

    A conduit aussi des navires d’étoiles sur ses vagues.

    Tes yeux portent des reflets de rêve que j’aime.

    Tes lèvres, ô délices qui me donnent envie de toi.

    Et le vent portant ton nom me retient dans ton rêve

    Nuage de brume dans l’éther de ma raison

    Dessinant encore ton visage dans des mirages

    Secouant mes sanglots pour que tu me ré apparaisses.

     

    Ta voix est restée ancrer au port de ton souvenir

    Ombre si belle quand je t’entends ô mon amour !

    Un jour encore, parle-moi, je veux entendre ta voix

    Je veux en ma mémoire, imprimer tes mots d’amour.

    Oh viens, remontons ensemble ta rivière bleue

    Unissons nos mains sous un vœu du ciel

    Retrouvons l’abri des gites d’étoiles

    Sous l’ivresse du soleil endormi sur ton épaule.

    ©Janedeau

     


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    Un amour de vent

     

    Un amour de vent

     

    Un amour de vent, ô ma brise, mon ivresse

    Nourrie-moi des délices de ton exil

     

    Aux alentours de ma blanche chaumière

    Montent en grappes, des fleurs de jasmin

    Oh douces ondées d’ombres parfumées

    Univers azuré de ciel de lune que je bois

    Rêveur, ô tu accostes en ta rivière bleue

     

     

    Dans tes yeux, passent des navires d’étoiles

    Emportant mon cœur au gré de ton âme  

     

    Vois comme je t’aime, comme se plie mon corps

    Entre tes mains, vois comme ma nuit savoure

    Nos notes de solfège, l’aube est sur mes lèvres

    Tendresse qui s’étend sous l’aile de tes caresses.

    ©Janedeau


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    Parfois le désespoir s'empare de mon coeur...

     

    Lui, le vent

     

    Lui, le vent

    Lui, le vent, désaccordé, il passe et repasse sans moi

    Un jour, deux jours, trois jours, seul, il fredonne

    Invitant les vagues à jouer des notes de bonheur.

     

    Le temps ensoleillé, s’enfuit sans moi à ses côtés

    Effaçant les accords de l’automne des souvenirs.

     

    Vivant de ses grandes marées, de sa moto et ses amies

    Emportant dans ses yeux, les belles étoiles des nuits,

    Ne se souciant nullement de moi, il m’a oubliée

    Triste, triste est mon âme, désespoir en mon cœur.

    ©Janedeau

     


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